C’est la panique à la maison Dubois. Stella veut aller récupérer son cartable dans la voiture, mais impossible de mettre la main sur les clés : elles ont disparu. Et devinez qui les a utilisées en dernier ? Julien ! Quelle tête en l’air !
Stella (désespérée) : « Papa, t’as encore perdu les clés ! Si je n’ai pas mon cartable pour demain matin, c’est la fin du monde ! »
Julien (haussant les épaules avec nonchalance) : « Je les ai pas perdues, je les ai juste… euh… rangées quelque part. C’est pas pareil. »
Daphné (surgissant avec une grande inspiration) : « Ah, dans des moments comme ça, il n’y a qu’une seule solution : invoquer Saint-Antoine de Padoue. Ma mère le faisait tout le temps, j’étais aussi un peu tête en l’air, et boum, les objets réapparaissaient comme par magie ! »
Bernard (déjà exaspéré) : « Saint-Antoine ?! Mais arrête un peu avec ces histoires, c’est de la superstition ! Les clés sont là, quelque part, on n’a qu’à se bouger. Faut chercher, chercher, et encore chercher. » (Il commence à fouiller frénétiquement les tiroirs, l’air très « organisé ».)
Angélique : « Tiens mon Juju, prends déjà clématite en Fleurs de Bach, et on va tous s’y mettre. »
Mateo (en s’étalant sur le canapé, détendu) : « Pfff, pourquoi tout le monde panique ? On a un double. Problème résolu. »
Mais Stella, déterminée et toujours créative, a une autre idée en tête.
Stella (bricolant avec un sourire rusé) : « Je vais utiliser la méthode du pendule ! Il paraît que ça peut retrouver les objets perdus. » (Elle brandit une chaîne sur laquelle elle a enfilé un écrou appartenant à Bernard.)
Angélique (en essayant de contenir son rire) : « Ma Sassa, c’est une technique bien particulière, ça ne se fait pas comme ça… mais bon, au point où on en est, tu peux toujours essayer. »
Pendant ce temps, Julien est assis, la tête dans les mains, incapable de se souvenir où il a bien pu poser ces fichues clés. Angélique a une idée : elle installe Julien dans un coin tranquille pour une séance de « remémoration accélérée ».
Angélique (d’un ton zen) : « Ferme les yeux, Juju. Respire profondément … Pense à la dernière fois que tu les avais. »
Julien (un peu perplexe, mais obéissant) : « Bon, alors… j’avais les sacs de courses dans les mains, les clés au bout des doigts… J’suis sorti de la voiture…
Angélique (toujours très détendue, du moins en apparence) : « Et après ? »
Julien (plongé dans ses souvenirs) : « Les clés sont tombées par terre quand j’ai posé les courses à la cuisine, j’avais prévu de les ramasser mais entre tout, j’ai oublié … C’est dingue, ça a marché ! »
Julien (fanfaronnant d’un air victorieux) : « Elles sont par terre dans la cuisine !!! »
Stella (en mode détective, se précipitant) : « Génial ! J’y vais, elles ont sûrement glissé sous le frigo, ou sous la table. »
Tomato, stoïque, observe toute cette agitation depuis son bocal.
Mais après une fouille acharnée, toujours rien. Bernard, qui ne peut plus se retenir, commence à s’agacer sérieusement.
Bernard (en hurlant presque) : « OR-GA-NI-SA-TION ! LES CLÉS ONT UNE PLACE ! ELLES NE DOIVENT PAS ÊTRE AILLEURS ! C’est pas possible d’être tête en l’air à ce point !!! »
Et alors que l’exaspération atteint son sommet, un petit bruit de griffes se fait entendre. Pépito arrive en trottinant joyeusement, un porte-clé avec un petit ballon de basket bien coincé dans sa gueule. Les clés !!!
Julien (éclatant de rire, soulagé) : « Voilà notre coupable ! Pépito, tu es vraiment un farceur. »
Stella (se jetant sur le chien pour récupérer les clés) : « Toto, c’est pas un jouet ! Si tu veux on te donne le porte-clé et on en mettra un autre pour nous ! »
Bernard (toujours bougonnant) : « Merci le chien, mais sérieusement, Julien, les clés : à leur place, toujours !»
Mateo (toujours détendu sur le canapé) : « Vous voyez ? J’vous l’avais dit. Pas besoin de paniquer. »
Julien, bien que soulagé, promet encore une fois de ne plus perdre les clés… jusqu’à la prochaine fois !
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